1. |
Soliloque
02:53
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Bleu c’est la couleur de mes tremblements
Rouge c’est la détente sur l’énervement
Ça fait beaucoup trop de temps que je reste en dedans
Tellement de vent qui se perd sans se rendre à moi
Visage sans couleur bien retaillé
Tout ce monde est beau, tout ce monde est gayé
Doux retournement, ma voix puis son écho:
“Bel appartement, pas mal la déco!”
Hallelu-
Halleluya
Hallelu-
J’fais ce que je veux, j’suis chevalier
Les murs qui se resserrent pour me piéger
Seul face à la mer qui me fait les yeux
Tellement de vent qui me brasse la tête
Qui me la casse en deux
Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque
Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque
Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque
Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque
Hallelu-
Halleluya
Hallelu-
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2. |
La danse de l'ennui
03:16
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Sans émoi je tourne en boucle, en double piqué
Regarde moi et simplement moi
L’autre jour j’ai perdu toute confiance en ce qui marche
Faut pas que j’me fâche
La peine de tout attendre, de perdre l’essence
Cette valse, c’est la danse de l’ennui
La vie qui défile
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
Le mal de la nuit dans ses tourments
Le calme et la pluie tombent si doucement sur moi
Sans témoin, je tourne, j’ai mal, j’appelle maman
“C’est moi et simplement moi”
L’autre jour m’a confirmé que Dieu n’existait pas
Faut pas que j’me fâche
La peine de tout attendre, de perdre l’essence
Cette valse, c’est la danse de l’ennui
La vie qui défile
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
Le mal de la nuit dans ses tourments
Le calme et la pluie tombent si doucement sur moi
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
Le mal de la nuit dans ses tourments
Le calme et la pluie tombent si doucement sur moi
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
J’me cogne l’orteil beaucoup trop souvent
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3. |
Oublie toi
03:13
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J’ai que mes mains pour te montrer
Ce que demain nous réserve, ce que j’aimerais changer
Et sans l’odeur pour nous guider,
Oublie ta peur, cette heure il nous faut la changer
J’ai trop de temps devant, trop en arrière,
La lune je l’ai vu tomber
Souvenirs en amont, regards amoureux,
J’veux pas te voir tanguer
Oublie ça, laisse toi faire
Retourne-toi, je serai toujours là
C’est corps à corps qu’on fait les raccords
J’aime bien quand tu me prends comme si j’allais me trouver
Raison de faire tout ce qui presse,
Tout ce qui faut faire afin d’me laisser retomber
Y’a beaucoup trop de poids sur mes épaules
Et je sens que j’me mets à sombrer
J’ai peur de tout rater comme quand j’évite de viser
Pour pas que ça tombe à côté
Oublie ça, laisse toi faire
Retourne-toi, je serai toujours là
Oublie ça, laisse toi faire
Retourne-toi, je serai toujours là
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4. |
Suite aux années
03:33
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C’était trois mots dans le vent
Et trois autres dans le silence
Ces pieds sont des rochers
Figés dans le temps
Une poussière qui n'ose tomber
Suite aux années, suite aux années
Messemble ça fait longtemps
Que je marche dans le mauvais sens
Je tourne sur la tête,
Les rouages de la tempête
Suite aux années, suite aux années
Je surestime l’avant,
Les regrets qui me viennent doucement
Quand même c’est pas trop mal,
Ce sont les jours entre les dents
Qui restent encore
C’est fou comme il m’en reste encore
Sous le sol, la vie revient quand on arrête
Quand on arrête
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5. |
Le Parterre
03:29
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Bienvenue sur le parterre
C’est sans commentaire,
Je suis lasse de danser
Bienvenue sur le parterre
C’est sans commentaire,
Je suis lasse de danser
Comme sous le tonnerre,
Faut un parapluie, le tenir
Puis se taire
Comme un sitcom, je ne sais plus
J’aime ton corps et le cinéma
Je parle trop fort même quand j’ai tort
J’dépense tout bas
Une chance que c’est toi
Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends
Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mentes
Sans faire des façons, je mords à l’hameçon
Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles
Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends
Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente
Sans faire des façons, je mords à l’hameçon
Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles
Bienvenue sur le parterre
Bienvenue sur le parterre
Je suis lasse de danser
Comme un sitcom, je ne sais plus
J’aime ton corps et le cinéma
Je parle trop fort même quand j’ai tort
J’dépense tout bas
Une chance que c’est toi
Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends
Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente
Sans faire des façons, je mords à l’hameçon
Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles
Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends
Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente
Sans faire des façons, je mords à l’hameçon
Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles
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Mada Mada Montreal, Québec
La tête dans les nuages, Mada Mada (Alexis LP) touche aux couleurs cinématographiques et à la musique populaire tout en
exprimant des paroles imagées.
Son univers en est un où la pluie fait du bien, ou le temps s'arrête et où l'on peut s'écouter.
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